Re: Alchemilla Hospital 1F. (Monde Normal)

[Steven3D]

Personnage : Jayden Curse
Partie précédente : Alchemilla Hospital 1F. (Monde Normal)
Accessoires : Briquet métallique de style zippo, téléphone portable basique, mystérieux médaillon

-Heu... enchanté, moi c'est Jayden... Jayden Curse

C'était surement ce genre de type déranger que l'on croise dans des hôpitaux psychiatriques. Soudain mon téléphone se mit à grésiller.

-A tient mon téléphone grésille... c'est pas normal. Sinon vous connaissez un moyen très rapide de se casser de cette ville plus dérangé que vous?

En attente de réponse

[Steven3D]

Personnage : Jayden Curse
Partie précédente : Alchemilla Hospital 1F. (Monde Normal)
Accessoires : Briquet métallique de style zippo, téléphone portable basique, mystérieux médaillon

Nathan eu à peine le temps d'ouvrir la bouche pour parler que soudain une espèce de grand monstre possédant des sortes de mains ressemblant plus à des massues défonça la double porte par laquelle j'étais rentré. Manque de chance nous étions juste dernière ces 2 portes. Elles se projetèrent tellement fortes contre nous que l'on se retrouvèrent tout les deux plaquer contre le mur. Nathan saignait au niveau de la tempe, il était assommé. Moi j'avais juste très mal à l'épaule gauche mais rien de grave. Je prit alors son flingue qui se trouvait par terre, je mis Nathan sur mes épaules et je me dépêcha de monter les escaliers.

Je monte à Alchemilla Hospital 3F. (monde normal)

[ATLAS]

Personnage: Nathan Crow
Partie précédente dans Alchemilla Hospital 2F (Monde Normal) dans le Quartier Commercial.
Accessoire: Colt 1991 (3 balles), couteau, médicaments, carte, clé Alchemilla Hospital.

Alors que j’arrive en bas de l’escalier, j’entends un hurlement provenant de ma droite.
Je me précipite dans le couloir et cherche l’origine du cri.

Toutes les portes sont fermées à l’exception d’une qui débouche sur un autre escalier qui descendait dans les entrailles de l’hôpital.

Je me mets à descendre et c’est à ce moment que les sirènes se mettent à résonner.

« C’est pas vrai, pas encore !» pensais-je.

Le noir s’abat et ne voyant rien, je progresse lentement.

« Deux fois c’est déjà trop mais trois fois, ça commence à faire répétition ! Sale glandeur de scénariste ! »

Cela me rassure de dire ça.

Soudain, une voix sèche murmure dans ma tête :

« Nathan, de la vie, ici ! »

Pris de vertige, je loupe une marche et tombe tête la première en bas.
Ma vision se trouble et je sombre dans le néant.

Je ne me souviens pas d’avoir atteint le bas de l’escalier.

La suite de mes aventures dans le prochain épisode dans l’Alchemilla Hospital B (Monde Alterné).

[Angelirium]

Personnage: Fulang
Partie précédente dans Alchemilla Hospital BS (Monde Normal) dans le Quartier Commercial.
Accessoire: Chaine, cellulaire, Briquet, grosse épée difforme.

Je n'ai eu que peu de mal à remonter au premier étage de l'hôpital. Mais je me sentais si faible, endoloris de partout. Et trimballer cette grosse épée me paraissait comme un fardeau. Je songea plusieurs fois à m'en débarasser, mais je ne le pouvais pas. C'était ma seule véritable protection en ce monde. Encore faudrait-il que je réussisse à m'en servir...

Je décida alors de monter directement au 3e étage de l'hôpital à l'aide de l'Ascenceur. J'attendais patiemment que les portes s'ouvre, mais profita de cette pause pour me remettre en état. Mon cerveau roulait lentement. J'étais comme drogué et pourtant, il n'y avait pas d'autre meilleur moment pour être complètement réveillé. Je devais avoir toute ma tête.

Puis, la porte s'ouvrit et une femme en sortit. Mes mains se cramponnèrent furieusement sur le manche de l'épée, mes deux mains. La femme recula, visiblement effrayé par le mouvement de mes mains et l'agressivité sur mon visage. Elle m'étudia, recula au fond de la cage d'ascenceur, mais jugea que je n'étais pas une menace.

- Je... je suis désolé ! Dis-je. Je ne voulais pas vous effrayer.
- Après tout ce que j'ai vu ici, vous êtes sans doute la chose la moins intimidante que j'ai vu.
- En d'autre lieu, j'aurais sans doute été insulté... mais pas aujourd'hui.

Je déserra ma prise sur l'épée, soulagé, et tendit une main à la femme qui sortit de la cage d'escalier. La porte se referma derrière elle, mais je ne m'en préoccupa pas pour le moment. Elle serra ma main chaleureusement.

La jeune femme devait avoir à peu près mon age. Elle n'était pas bien grande, un léger surplus de poids mais qui ne nuisait pas du tout à sa beauté. Ses cheveux étaient noirs ébène et relativement cours, mais une large bande de mèche rouge partait du centre de sa tête pour lui descendre jusque dans le toupette. Son sourire était sincère et, présentement, elle ne semblait plus du tout effrayée. Sa sécurité était contagieuse sur moi. J'avais soudainement l'impression de subir une cure de rajeunissement. Le poids de mes blessures s'estompa sans que je puisse l'expliquer.

- Je suis content de voir quelqu'un de normal dans cette ville ! Dit Fulang.
- C'est le cas de le dire ! Dit elle. Je n'ai vu que des infirmières et des médecins dans ces lieux et ils ont tous voulu me tuer... tout le contraire de ce à quoi j'ai été habitué.
- Vous travaillez ici ?
- Seigneur... non ! J'ignore même comment j'ai pu me retrouver ici. J'étais à l'autre bout de la ville, dans un Hotel. Quelque chose me poursuivait et puis en ouvrant une porte, je me suis retrouvé sur le toit de l'hopital, à l'extérieur... Comme si on m'avait téléporté...
- C'est... impossible ! Dit Fulang, ignorant quoi croire.
- Dites-ça au scipteur !
- Hein ?
- C'est une blague d'actrice.
- Vous êtes actrice ?
- J'étais.

La jeune femme ne sembla pas vouloir rallonger le discours, elle tourna la tête et regarda vers le sol. Je n'insista pas.

- Que faites-vous ici ? Dit la jeune femme.
- Une... amie m'a appelé d'ici. Dit Fulang. Mais je ne la trouve nul part.
- Je n'ai vu personne. Dit la jeune femme. Et j'ai fait pratiquement toute les pieces à partir du 3e. Excepté cet étage et le sous-sol.
- J'ai visité l'étage et le sous-sol.
- Alors elle n'est pas ici !
- Quel femme tordue peut bien donner rendez-vous à un mec dans un endroit pareil ?
- Nous ne nous étions pas donné rendez-vous ici. Je suis même surpris qu'elle soit ici, c'est impossible. Je suis tombé en panne à l'extérieur de la ville et depuis j'ère ici. J'étais sur le point de tenter de quitter cette foutue ville quand Ashanti m'a appelé pour me dire qu'elle était dans cette ville.

Je saisis son cellulaire.

- Elle n'a pas pu vous appeler sur ce truc. Dit la jeune femme.
- Comment ça ?
- Les ondes ne passent pas. Silent Hill est abandonné depuis des années, bien avant les cellulaires. Il n'y a pas d'antenne à des kilomètres.
- Mais elle...
- Si quelque chose vous a rejoint ici, ce n'était certainement pas Ashanti.
- Vous n'êtes pas juste une actrice, hein ?
- J'ai bien dit : J'étais.
- Alors qui êtes-vous ?
- Quelqu'un qui ne devrait pas exister.

Elle me fit signe de la suivre dans le corridor. Je n'allais donc pas prendre l'ascenceur.

- Où allons-nous ?
- Trouver des réponses.

Regardant son déenchement, je ne pus résister à aller derrière elle, me perdant dans le balancement de ses fesses sous son jeans noir.

- Je m'appel Fulang, et toi ?
- Alyson.

Suivez Fulang et Alyson sur la rue Koontz St. (Monde Normal)

[ATLAS]

Personnage: Nathan Crow
Partie précédente dans Alchemilla Hospital BS (Monde Normal) dans le Quartier Commercial.
Accessoire: Colt 1991 (3 balles), couteau, carte, clé Alchemilla Hospital.

L’ombre, ni ténèbres ni lumière.
Là où j’existe.
Dans ma connaissance, sans avoir.
Caché au milieux des autres.

(Flashback)

-La notion de connaissance est relative, la savoir ne l’est pas. Tout ce que tu crois connaître ne dépend que de ta perception des choses. Chacun d’entre nous est unique, donc la connaissance est multiple et propre à chacun, contrairement au savoir. Toi et moi sommes pareilles. On nous a retiré notre savoir, dernière et seule chose qui nous relie au reste des humains.
L’homme qui me dit ça est assis en face de moi. Il porte un costard, de grande marque, des mocassins et des lunettes qui lui vont parfaitement et lui donne un air mystérieux.
Nous sommes à un restaurant de haute qualité mais surtout discret, ce qui attire les clients désireux de vouloir passer inaperçu.
Je suis habillé de la même manière que mon compagnon. J’ai dix neuf ans. Il a la trentaine.
Pourtant, je donne l’impression d’en avoir bien plus.
Il reprend :
-Donc nous sommes d’accord, il faut les trouver.
Il se lève et me tend sa main. Je me lève également et la serre, concluant le pacte.
Nos visages sont impassibles mais je lis une envie de vengeance sur son visage.
Il sort de sa poche une pochette et me la tend. Je l’attrape.
-J’ai le nom et l’emplacement de quatre d’entre eux. Agis discrètement. Pour le cinquième, il est introuvable. Trouve les, Nathan, et rend justice. Pour nous. Bonne chance.
Mon collaborateur se rassoit et commande un café. Je m’en vais sans me retourner.
Je sais ce que je dois faire. Le reste ne compte plus.
Je ne sais pas que je ne vais jamais trouver le cinquième.

……………

Et voila le quatrième, le dernier à tuer. Il avait été simple de se débarrasser des trois premiers mais lui me posait plus de problème. Il est riche et puissant, donc bien protégé.
Mais grâce à mon collaborateur, j’avais obtenu une entrevue avec lui.
Ainsi, je me retrouve dans un ascenseur, montant au soixante-sixième étage d’un building, entouré de deux gardes du corps.
Ils ne me poseront pas trop de problème, je les neutralisais et je m’occupais du gars.
L’ascenseur s’arrête, les portes s’ouvrent.
C’est un de ces grands bureaux avec baie vitrée, avec un certain niveau de luxe. Ma cible est assise dans un fauteuil et me tourne le dos.
Je m’approche précautionneusement, suivi de près par les gorilles.
Soudain, l’homme d’affaire se retourne et me glace le sang de ses paroles :
-Enchanté de te revoir Nathan.
C’est lui, c’est mon mystérieux collaborateur qui est en face de moi !
Il fait signe à ses deux gros bras qui me saisissent et me maintiennent.
-Prévisible, lui dis-je, vous croyez que j’allais faire confiance au premier venu ?
-Pourtant, tu es tombé dans mon piège, se moqua mon ex-partenaire. Je te remercie grandement ; tu as éliminé mes trois inutiles collègues et je suis le quatrième.
-Pourquoi ? demandais-je. Pourquoi m’avoir permis de les tuer ?
-Trop dangereux et incapable de se contrôler. Arrogant aussi. C’est un cliché américain.
« Et cette scène alors ? » pensais-je immédiatement.
Dommage, je ne peux continuer à m’amuser d’avantage.
Je me penche en avant et bascule. Tellement surpris, mes deux tortionnaires tombent à la renverse. Je fais une roulade et me dégage de ce tas de chair humaine en assommant les boulets avec des coups de pied.
L’autre a l’air légèrement surpris.
Je sors mon Colt et le pointe sur lui.
Avant que je puisse tirer, il a déjà pris son arme et presse la détente.
La balle me touche à l’extrême flanc gauche et ressort sans avoir touché un organe La blessure n’est pas sérieuse mais ça fait un mal de chien !
Je tire à mon tour et l’atteint à l’épaule. La balle est aussi ressortie et a fissuré la baie vitrée derrière.
Mon ennemi tombe à la renverse, le dos contre le verre, qui se fissure de plus en plus.
Il relève la tête et me regarde dans les yeux.
-Bien joué, me félicite-t-il. Tu vas enfin éliminer celui qui te manquait.
-Non, répondis-je. Il reste et restera toujours le « fifth ».
Il rit :
-En effet, ta vie aura toujours un sens tant que ta vengeance ne sera pas finie.
-Ce n’est pas une vengeance. C’est comme vous le dites, une lutte pour le savoir. Dites moi maintenant, pourquoi avoir tué mon père ?
-Tu le sauras quand tu auras trouvé le cinquième.
A ce moment là, je baisse mon arme.
-Tu ne me tues pas ? demande le quatrième, réellement surpris cette fois. Tu as pourtant tué les autres. Ce qui me soulage et me permet de mourir en paix
-Ah, aurais-je oublié de mentionner un détail ? fis-je de mon air sadique. Je ne les ai pas tués. Ils n’en valaient pas la peine. Je leur ai juste fais le même discours qu’à toi.
Soudain, le blessé se met à applaudir très fort.
-Bravo ! Tu es encore plus vicieux que ton père adoptif. Et ce n’est pas rien. Adieux, Nathan Crow. J’espère que tu ne le trouveras jamais.
Et il donne un coup de tête en arrière, contre la vitre, qui explose, se précipitant ainsi dans le vide. Le tout en continuant à rire.
Sale cinglé !
Le premier mot qui me vient à l’esprit : Merde !
Le deuxième : Merde !
Et le troisième : Merde !
Et le quatrième… Non c’est bon. On a compris.
Je me retourne vite et cherche par où accéder à l’escalier. Au passage, j’enlève mon costard blanc, dévoilant un autre costard, noir cette fois.

…

Je cours le plus vite possible, trouve le premier bar dans la rue et m’assois à la première table venue.
-Toi, tu ne viens de tuer quelqu’un en le jetant du soixante-sixième étage, ça se voit
Je lève les yeux et vois une jeune fille de mon âge, aux cheveux bruns long avec des mèches grises, les yeux gris, portant un jean et une simple veste noire, qui se moque de moi en dévorant des yeux le sang qui coule de ma veste.
C’est ainsi que ma vie bascula...


(Retour au présent)


Mais pourquoi je pense à ça ?
Elle est morte, ce n’est plus le moment d’y penser. C'est trop tard.
Est –ce en rapport au fait que deux abrutis sont en trains de me trainer ?
Peut être.
Que s’est-il passé ?
Où est Morris ?
Deux mètres devant, lui aussi trainé par deux types.
Où est-ce qu’ils m’emmènent ?
Je crois que je monte sur un bateau, mais je ferme les yeux.
J’aimerais être sur mon ordi.
Aucun rapport…

La suite de mes aventures dans le prochain épisode dans Nathan Avenue dans South Vale (Monde Normal).

[Ronald]

Perso:Tommie Anderson
Objets:elle porte une montre à son poignet et un sac bandoulière contenant un beretta M-92,une peluche,le journal de Tommie ,un plan de Silent Hill et d'autres objets sans importance.
Partie précédente:Quartier commercial,Koontz st(monde normal).

J'étais dans la cour de l'hôpital et deux créatures se dirigeaient vers moi,je tirai plusieurs balles sur l'une et sur l'autre tout le temps en intervertissant jusqu'à ce qu'elles tombent au sol en même temps.Puis en plein milieu par terre à quelques pas devant moi se trouvait une pioche.Je l'examinai et remarquai une inscription dorée.

La clé de la porte de la vie.

Ca doit être cette clé qui était mentionnée.Je vais donc retourner à la boutique.

Mais avant de repartir j'essayai quand même d'entrer dans l'hôpital juste pour voir si c'était ouvert et bien sûr ça ne l'était pas.Mais je crus entendre une voix venir de l'autre côté de la porte.J'approchai mon oreille pour mieux entendre et en effet,on entendait une voix de fille.Elle devait avoir à peu près quinze ans.J'avais du mal à distinguer ses paroles,elle parlait faiblement comme si elle était malade.Puis je finis par comprendre quelque chose:

"_Je dois te parler mais pas ici,fais attention au chemin que tu suis,choisis le bon,celui vers moi,n'écoute pas cet homme.Je t'attends,rejoins-moi plus tard,il faut que je te parle Tommie.
_Qui es-tu? demandai-je en haussant bien le ton.
"_Tu le sauras bien assez tôt,rejoins-moi",répondit-t-elle avec douceur.
"_Attends,comment suis-je sensée faire?tout est fermé ici"

Je n'entendis aucune réponse.J'insistai quand même:
"_Tu es toujours là? Petite?"

Elle n'était sans doute plus là.

Qui était-ce?Et de quel homme parlait-elle?Il faut que je la rejoigne...mais comment...pour l'instant,je vais retourner à cette boutique et je réfléchirai là-bas.

Je n'avais plus rien à faire ici,je pris la grille de sortie.

La suite dans le quartier commercial,Old Town Antiques...

[Vincent Grammont]

personnageVincent Grammont
objet couteau amérindien, lampe troche, téléphone portable, sacoche, caméra
épisode précédent https://silenthillrpg.forum-canada.com/t28-crichton-st-monde-normal#588

Vincent pénétra dans l’hôpital, sans surprise maintenant l'accueil était vide. La présence d'une personne l'aurait encore plus étonné. Il constata malgré tout que l'endroit avait l'air d'avoir été déserté seulement quelque heures auparavant. Mise à part un peu de poussière tout semblait encore neuf, ordonné et en état, pas de fissure aux murs, de porte cassée. Il remarqua un plan affiché sur un des murs; vincent l'observa quelque moment et le filma avec sa caméra.

- il vaut mieux que je la garde allumée pour l'instant.

filmant tout autour de lui il commença ses investigations, cherchant des indices, ressemblant à quoi?? il en avait aucune idée, il était venu d'instinct comme il était ici à Silent Hill, suivant ce sens primitif et inexplicable. Il trouverait ici d'autre réponses, il l’espérait en doutant bien qu'il y trouverait surtout d'autre question.

Il arriva de un long couloir avec de nombreuses portes, la plus part fermées. Un véritable silence de cathédrale régnait dans l'endroit. Des bureaux, des bureaux avec parfois des dossiers ouverts sur le meuble, des tiroirs ouvert. Dans la cuisine le frigo marchait encore, mais les plaques étaient froides, et les contenants vide. Tout vie semblait avoir disparue juste quelque temps avant qu'il arrive, un spectacle bien diffèrent de Blue Creek Apartment.

Des frissons lui traversèrent le corps mais ce n'était pas à cause du froid. Il quitta le couloir après avoir put constater que toute les pièces auquel il donnait était vide.

Les deux sanitaires étaient eux aussi en bonne état, lentement il se pencha pour observer sous les portes, rien aucun pied qui dépassait. il se releva et quitta les toilettes des hommes, après avoir fait ceux des femmes. il passa devant l'escalier. Sa lampe passa sur le grand escalier puis la porte de l'autre côté. Il fit un rapide tour des lieux mais ne trouva rien.

Lentement il se décida à monter

suite alchemilla hospital 2f (normal)

suite dans A

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