child in time, retour au bercail.
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child in time, retour au bercail.
hrp: attention pour les puristes de silent hill vous risquez de ne pas reconnaitre votre ville. Mais l'enfer est fait de nombreux visages
désolé pour le pavé que je vais poster mais faut placer le personnage.
La voiture lentement roulait dans midwitch street, les phrases allumés. Le ciel était dégagé et offrait le spectacle du coucher de soleil, teinté de rouge et d'orange; comme un tourbillon de feu dans le ciel alors qu'à l'est régnait déjà la noirceur bleu nuit d'un ciel sur un monde qui s’apprêtait à dormir. Feu dans le ciel, comme le disait Deep Purple dont l'un de leur grand titre retentissait dans la voiture. Child in Time, hasard ou signe mais Vincent revenait vers son enfance qu'il avait quitté bien jeune. Les maisons n'avaient pas changé hormis leur façades devenues vieille et sale, couvert par des tapi de mousse envahissant le bois pourris, la peinture s'écaillant et tirant sa révérence à chaque brise de vent. Les arbres étaient aussi en piteux état, leur branches faibles arborant un maigre feuillage. Un spectacle déprimant pour une fin de journée.
Lentement la voiture quitta la route pour prendre un petit chemin de gravier, recouvert d'un tapi d'herbe, elle s'arrêta. Vincent resta un moment à écouter la fin de la chanson, les cris poussés par Ian Gillan l'impressionnaient toujours; quand vint le coup d'orgue final, tombant comme la hache d'un bourreau sur sa victime, puissant froid et funeste, il coupa le moteur. Le soleil disparaissait derrière les collines boisées en projetant d'immense ombre sur la ville. Vincent Grammont rangea ses lunettes dans la boite à gant et prit la caméra sur la siège arrière, un petit emprunt à son travail; il sortit et referma la porte.
Il resta un moment immobile, depuis qu'il était parti avec son groupe, et ses rêves, dans les autres régions du pays il n'était jamais revenu ici. Son père avait quitté la ville à la mort de sa mère, laissant la maison déserte et jamais vendue, encore meublée et remplie de souvenirs. Il s'avança, et s'arrêta devant la porte. Quelque chose l'empêchait de l'ouvrir, le doute. Qu'est ce qu'il espérait trouver cher lui, quel indice pouvait-il trouver, c'est sa femme qu'il cherche pas où était la cachette à cookie... Plus comme un pèlerinage il voulait se recueillir à la mémoire de ses deux parents; après il pourra enquêter. Il prit une grande respiration et tourna la poignet, le verrou fonctionnait encore. Une expression d'agacement apparut pour disparaitre aussi vite sur son visage, sans prendre de gant ni soucis de discrétion il éclata la vitre avec une des briques qui jonchaient le sol, de là il retira le loquet de l'intérieur et ouvrit la porte. La maison était sombre, les fenêtres étaient recouverte de papier journaux collés dessus et les volets rabattus; vide, silencieuse et poussiéreuse étaient les trois termes qui pouvaient la décrire. Quelque meuble encore, recouvert certain de draps blanc. Vincent appuya sur l'interrupteur mais rien ne se passa, il alluma sa lampe et alla voir le disjoncteur mais ca ne changea rien. Belle et bien plus de courant. Il entra dans le salon, la grande table au milieu était encore sous son drap. Il constata que la porte donnant sur le jardin avait été forcée.
Marchant lentement, chaque pas posé avec douceur sur le parquet de bois grinçant et miteux, il fit le tour de la pièce, rien ou presque ne manquait à ses souvenirs. Le fauteuil, maintenant déchiré, où son père lisait le journal, l'armoire avec les objets décoratifs, dont plusieurs étaient brisés et les autres disparu de manière à quelle était rempli que d'éclat de porcelaine et de verre. Il tira le drap sur la table basse en bois verni, et posa sa main dessus. Il passa dans une porte sans poignet qu'il finissait de pousser dans les deux sens pour entrer et pénétra dans la cuisine. Une odeur immonde de pourriture et de merde remplissait la pièce et ses narines, il eut un réflexe de reculer en faisant une mimique de dégout, prit son t-Shirt et le mit sur on nez et repoussa la porte. Sur la table de travail des boites de conserves étaient amassées en tas, ouverte, des mouches en avaient fait leur royaume. Il passa sa lampe torche dans la pièce et vit que le sol et couvert d'une matière dont il ne voulait pas en savoir plus et malgré les carreaux de la fenêtre cassé l'air y était irrespirable. Il ressortit de la pièce convaincu que la maison avait servie de squatte et dégouté, avec une envie de vomir. Il respira calmement et lentement s'en remit. Tout autour de lui était silencieux, le faisceau lumineux dévoilait encore le salon mais aussi toute la poussière flottant dans la salle.
Il arriva devant l'escalier. Il s'entendait encore courir et le dévalant à toute vitesse, jouant avec son frère et son meilleur ami Mark Twain. Il monta les marches, grinçantes et fragiles, faisant très attention à ne pas lâcher la rampe en cas où... Il explora le première étage, y trouva un vieux sac de couchage à côté du lit de ses parents dont le matelas totalement jaune de moisissure avait rendu l'âme les ressorts du lit aussi ainsi que tout le lit écrasé sur le sol. Une vieille lampe électrique cassé à côté du sac et des journaux sur le sol.
Le silence presque religieux du lieu, comme ceux des tombes fut perturbé par un son quoique faible, donna l'impression d'être un véritable vacarme là où Vincent n'entendait que le son de sa respiration et son coeur battre. La bruit venait du grenier.
désolé pour le pavé que je vais poster mais faut placer le personnage.
La voiture lentement roulait dans midwitch street, les phrases allumés. Le ciel était dégagé et offrait le spectacle du coucher de soleil, teinté de rouge et d'orange; comme un tourbillon de feu dans le ciel alors qu'à l'est régnait déjà la noirceur bleu nuit d'un ciel sur un monde qui s’apprêtait à dormir. Feu dans le ciel, comme le disait Deep Purple dont l'un de leur grand titre retentissait dans la voiture. Child in Time, hasard ou signe mais Vincent revenait vers son enfance qu'il avait quitté bien jeune. Les maisons n'avaient pas changé hormis leur façades devenues vieille et sale, couvert par des tapi de mousse envahissant le bois pourris, la peinture s'écaillant et tirant sa révérence à chaque brise de vent. Les arbres étaient aussi en piteux état, leur branches faibles arborant un maigre feuillage. Un spectacle déprimant pour une fin de journée.
Lentement la voiture quitta la route pour prendre un petit chemin de gravier, recouvert d'un tapi d'herbe, elle s'arrêta. Vincent resta un moment à écouter la fin de la chanson, les cris poussés par Ian Gillan l'impressionnaient toujours; quand vint le coup d'orgue final, tombant comme la hache d'un bourreau sur sa victime, puissant froid et funeste, il coupa le moteur. Le soleil disparaissait derrière les collines boisées en projetant d'immense ombre sur la ville. Vincent Grammont rangea ses lunettes dans la boite à gant et prit la caméra sur la siège arrière, un petit emprunt à son travail; il sortit et referma la porte.
Il resta un moment immobile, depuis qu'il était parti avec son groupe, et ses rêves, dans les autres régions du pays il n'était jamais revenu ici. Son père avait quitté la ville à la mort de sa mère, laissant la maison déserte et jamais vendue, encore meublée et remplie de souvenirs. Il s'avança, et s'arrêta devant la porte. Quelque chose l'empêchait de l'ouvrir, le doute. Qu'est ce qu'il espérait trouver cher lui, quel indice pouvait-il trouver, c'est sa femme qu'il cherche pas où était la cachette à cookie... Plus comme un pèlerinage il voulait se recueillir à la mémoire de ses deux parents; après il pourra enquêter. Il prit une grande respiration et tourna la poignet, le verrou fonctionnait encore. Une expression d'agacement apparut pour disparaitre aussi vite sur son visage, sans prendre de gant ni soucis de discrétion il éclata la vitre avec une des briques qui jonchaient le sol, de là il retira le loquet de l'intérieur et ouvrit la porte. La maison était sombre, les fenêtres étaient recouverte de papier journaux collés dessus et les volets rabattus; vide, silencieuse et poussiéreuse étaient les trois termes qui pouvaient la décrire. Quelque meuble encore, recouvert certain de draps blanc. Vincent appuya sur l'interrupteur mais rien ne se passa, il alluma sa lampe et alla voir le disjoncteur mais ca ne changea rien. Belle et bien plus de courant. Il entra dans le salon, la grande table au milieu était encore sous son drap. Il constata que la porte donnant sur le jardin avait été forcée.
Marchant lentement, chaque pas posé avec douceur sur le parquet de bois grinçant et miteux, il fit le tour de la pièce, rien ou presque ne manquait à ses souvenirs. Le fauteuil, maintenant déchiré, où son père lisait le journal, l'armoire avec les objets décoratifs, dont plusieurs étaient brisés et les autres disparu de manière à quelle était rempli que d'éclat de porcelaine et de verre. Il tira le drap sur la table basse en bois verni, et posa sa main dessus. Il passa dans une porte sans poignet qu'il finissait de pousser dans les deux sens pour entrer et pénétra dans la cuisine. Une odeur immonde de pourriture et de merde remplissait la pièce et ses narines, il eut un réflexe de reculer en faisant une mimique de dégout, prit son t-Shirt et le mit sur on nez et repoussa la porte. Sur la table de travail des boites de conserves étaient amassées en tas, ouverte, des mouches en avaient fait leur royaume. Il passa sa lampe torche dans la pièce et vit que le sol et couvert d'une matière dont il ne voulait pas en savoir plus et malgré les carreaux de la fenêtre cassé l'air y était irrespirable. Il ressortit de la pièce convaincu que la maison avait servie de squatte et dégouté, avec une envie de vomir. Il respira calmement et lentement s'en remit. Tout autour de lui était silencieux, le faisceau lumineux dévoilait encore le salon mais aussi toute la poussière flottant dans la salle.
Il arriva devant l'escalier. Il s'entendait encore courir et le dévalant à toute vitesse, jouant avec son frère et son meilleur ami Mark Twain. Il monta les marches, grinçantes et fragiles, faisant très attention à ne pas lâcher la rampe en cas où... Il explora le première étage, y trouva un vieux sac de couchage à côté du lit de ses parents dont le matelas totalement jaune de moisissure avait rendu l'âme les ressorts du lit aussi ainsi que tout le lit écrasé sur le sol. Une vieille lampe électrique cassé à côté du sac et des journaux sur le sol.
Le silence presque religieux du lieu, comme ceux des tombes fut perturbé par un son quoique faible, donna l'impression d'être un véritable vacarme là où Vincent n'entendait que le son de sa respiration et son coeur battre. La bruit venait du grenier.
Vincent Grammont- Messages : 45
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: child in time, retour au bercail.
bon deuxièmement tentative après que mon putain de pc a perdu la connexion wifi en plein milieu du deuxième pavé....
Personnage Vincent Grammont
inventaire couteau de chasse indien, lampe de poche, téléphone portable, clefs de sa voiture (le reste dans sa voiture)
Vincent suivit l'origine du bruit avec sa lampe pointé sur le plafond d'où provenait par moment un petit son de raclement; puis un bruit de verre cassé. Il quitta la chambre et une fois dans le couloir regarda la trappe. Pas de perche pour l'ouvrir, il sauta et attrapa la poignée, qu'il entraina avec lui dans sa chute. Quand il toucha le sol, un son de bois craquelés retentit et la maison semblait s'ébranler alors que raclé le bois dans les gorges en fer et se déployait l'échelle. Il resta dans le couloir, au papier peint moisi et jauni dont certains pans étaient en tas sur le sol; il regarda par la lumière de la trappe mais ne vit que l'obscurité et la poussière qui régnait dans le grenier. Il monta avec prudence l'échelle craignant qu'elle ne se casse sous son bois. Une fois que sa tête passa il apporta la lampe et balaya les lieux. Silencieux et immobile, un bric à brac d'objet. Un cadis volé et rouillé rempli de cartons à faire, un mannequin sans bras, des pilles de journaux, des colis encore sous leur emballage,d es meubles cassés dont certains avaient le droit à un drap, des vêtement mangés par les mites. L'oeil de bœuf était couvert de papier journaux en aucune lumière n'entrait pas la pièce.
Vincent avait lentement, vouté, sa lampe ne dévoilait que de grandes ombres sur la charpente. Il passa devant un boite rouge avec des peintures d'enfant sur le couvercle; s'arrêta avec un petit sourire, posa calmement la lampe sur un meuble pour qu'elle l'éclaire et prit à deux mains la boite qu'il dépoussiéra d'un revers de la main droite. Il souleva le couvercle qui fit une petite résistance, du à ses gonds qui devait être graissé. Tel un reliquaire masses de petits objets sans valeurs pour ceux qui n'y attachent aucune attendaient là qu'on les découvre. Une photo dont les couleurs commençaient à s'effacer. vincent n'eut aucune mal à revoir les couleurs; c'était lors de leur seul voyage en famille à l'étranger, en France. Le bijoux fantaisie qu'une petite fille lui avait offert quand il était jeune pour pas qu'il l'oublie. Alors qu'il était tranquillement plongé dans le passé le bruit retentit derrière lui.
Il laissa tomber la boite et tourna sur les talons, attrapant au passage la lampe pour faire face à l'inconnu. Mais rien tout était immobile, il resta sans bouger durant quelques secondes qui lui semblait être des minutes, lentement il vit un buste de couture glisser puis tomber, les yeux grands ouvert, la mâchoire serrée et sans en avoir conscience sa main libre qui s'approchait de son couteau. Son rythme cardiaque augmentait et il le sentait battre dans ses oreilles. Puis il vit surgir l'origine de tout cela se dévoila, un petit rat qui semblait aussi apeuré que lui, il courut pour se cacher sous un drap.
Nerveusement Vincent se mit à rire, il se releva un peu et quitta le grenier, un sourire aux lèvres.
Personnage Vincent Grammont
inventaire couteau de chasse indien, lampe de poche, téléphone portable, clefs de sa voiture (le reste dans sa voiture)
Vincent suivit l'origine du bruit avec sa lampe pointé sur le plafond d'où provenait par moment un petit son de raclement; puis un bruit de verre cassé. Il quitta la chambre et une fois dans le couloir regarda la trappe. Pas de perche pour l'ouvrir, il sauta et attrapa la poignée, qu'il entraina avec lui dans sa chute. Quand il toucha le sol, un son de bois craquelés retentit et la maison semblait s'ébranler alors que raclé le bois dans les gorges en fer et se déployait l'échelle. Il resta dans le couloir, au papier peint moisi et jauni dont certains pans étaient en tas sur le sol; il regarda par la lumière de la trappe mais ne vit que l'obscurité et la poussière qui régnait dans le grenier. Il monta avec prudence l'échelle craignant qu'elle ne se casse sous son bois. Une fois que sa tête passa il apporta la lampe et balaya les lieux. Silencieux et immobile, un bric à brac d'objet. Un cadis volé et rouillé rempli de cartons à faire, un mannequin sans bras, des pilles de journaux, des colis encore sous leur emballage,d es meubles cassés dont certains avaient le droit à un drap, des vêtement mangés par les mites. L'oeil de bœuf était couvert de papier journaux en aucune lumière n'entrait pas la pièce.
Vincent avait lentement, vouté, sa lampe ne dévoilait que de grandes ombres sur la charpente. Il passa devant un boite rouge avec des peintures d'enfant sur le couvercle; s'arrêta avec un petit sourire, posa calmement la lampe sur un meuble pour qu'elle l'éclaire et prit à deux mains la boite qu'il dépoussiéra d'un revers de la main droite. Il souleva le couvercle qui fit une petite résistance, du à ses gonds qui devait être graissé. Tel un reliquaire masses de petits objets sans valeurs pour ceux qui n'y attachent aucune attendaient là qu'on les découvre. Une photo dont les couleurs commençaient à s'effacer. vincent n'eut aucune mal à revoir les couleurs; c'était lors de leur seul voyage en famille à l'étranger, en France. Le bijoux fantaisie qu'une petite fille lui avait offert quand il était jeune pour pas qu'il l'oublie. Alors qu'il était tranquillement plongé dans le passé le bruit retentit derrière lui.
Il laissa tomber la boite et tourna sur les talons, attrapant au passage la lampe pour faire face à l'inconnu. Mais rien tout était immobile, il resta sans bouger durant quelques secondes qui lui semblait être des minutes, lentement il vit un buste de couture glisser puis tomber, les yeux grands ouvert, la mâchoire serrée et sans en avoir conscience sa main libre qui s'approchait de son couteau. Son rythme cardiaque augmentait et il le sentait battre dans ses oreilles. Puis il vit surgir l'origine de tout cela se dévoila, un petit rat qui semblait aussi apeuré que lui, il courut pour se cacher sous un drap.
Nerveusement Vincent se mit à rire, il se releva un peu et quitta le grenier, un sourire aux lèvres.
Vincent Grammont- Messages : 45
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: child in time, retour au bercail.
personnage, inventaire et lieu idem que le poste précédant
Vincent arpenta le couloir et fut attiré comme l'aiguille d'une boussole vers le Nord devant une porte qu'il ouvrit sans hésitation. Une petite pièce quasi vide, les marques sur la moquette de meuble étaient encore devinables. Les murs étaient presque nus de toute décoration, le reste d'un poster pendait indiquant "Led Zeppelin", il vit le lit sans matelas, il fit quelque pas dans la pièce et entendit du verre se briser sous la semelle de ses chaussures. La lampe sur le sol il vit les restes de seringues.
- Le rendez vous des drogués ici! J'aurais jamais deviné que ma chambre en serait un lieu de pèlerinage des shootés. Devant lui un poster curieusement intacte de jim Morisson; on lui avait souvent faire remarquer sa forte ressemblance avec le chanteur des DOORS, avant du moins qu'il aille en Afrique et en revienne avec des épaules énormes et des tatouages.
Le son strident et répété de sa sonnerie de portable retentit. Sans être surpris le moins du monde il le prit, il s'agissait d'un de ces vieux nokia, solide comme la roche et discret comme un taureau dans un magasin de porcelaine. Il sortit de sa chambre et passa porte, recouverte de planches clouées, et il arriva sur une petite terrasse de 6 mètre carrés, bâtit au dessus du salon donnant sur le jardin, enfin le terrain vague et sauvage envahit par endroit de hautes herbes et de lierre rampants étouffant des arbres devenu maigres et faible. Le carrelage de la terrasse était lézardé et tellement sale qu'il en avait perdu la blancheur initiale pour devenir noir; les meubles de jardin, une petite table ronde et des chaises, avaient piteuses mines, rongés par la rouille et cassés. Le ciel était devenu noir, vincent éteignit sa lampe, il ne pouvait à peine distinguer la palissade au bout du jardin.
- Salut Franky! Comment tu vas???
- Bien et toi?? le retour aux origines pas trop dur?
- Froide et bien vide! Un cimetière géant cette ville. J'pense que je vais dormir dans la voiture ce soir!
- Ha!! Toujours aussi courageux! Bon voila j'ai des résultats pour ta demande. J'ai fait des recherches. Et putain! En effet y en avait des cinglés et dire qu'on a grandit là bas!!
- Alors??? Un profile possible??demanda vincent s'accoudant à la rembarre, curieux d'entendre la réponse
- Un type assez fou pour faire ça. y aurait eu Walter Sullivan. L’énonciation du nom provoqua un court silence. Sullivan avait glacé le monde d'effroi et rendu le nom de la ville tristement célèbre. Le double homicide de la petite fille et du garcon de 10 ans avec une hache, une affaire des plus horrible qui mettait cet homme sur la scène des horribles et étranges meurtriers du monde avec Jack L'éventreur et Pedro Alonso López.
- Non ca ne va pas!
- Je sais vincent! Mais de toutes la liste aucun ne peut correspondre. Je te dis moi c'est un fan!!
- Un fan??? le seul tu veux dire!! Ma carrière est inexistante!
- Justement lui répondit son interlocuteur sur un ton léger et plaisantin En générale quand on a peu de fan ce sont des acharnés des fous qui pensent qu'ils peuvent avoir leur chance! Je te le dis il te fais ça en espérant qu'on parlera de toi ou que tu trouveras de l'inspiration dans ce que tu auras vécu!
- Faut que tu arrêtes de regarder Larry un ami qui vous veut du bien Franck! la plaisanterie surprit même celui qui venait de la faire; comment parler aussi légèrement alors que ca se produisait en ce moment??
- Va à l'hopital. Si il t'a bien appelé pour te dire qu'il était à silent Hill il ne doit pas être totalement équilibré. Tu pourrais aussi te faire connaitre de lui, trouver un moyen pour qu'il sache que tu es en ville mais ca me semble trop dangereux.
- L'hopital??? j'irais demain. Vincent coupa le portable. Il resta dans la nuit noire à observer la ville, juste une forme, une silhouette peinte de noir sur un fond de ciel mauve sombre, avec encore quelque lueur de bleu nocturne. Un croissant de lune dans le ciel pour seul phare. Il ralluma sa lampe et descendit refermant les portes derrière lui, comme pour enfermer les fantômes et souvenirs. Vincent alla s'allonger sur la banquette arrière de sa voiture. Il avait juste avant essayé d'écouter la radio mais à part un crépitement avec des sons aigu par moment rien, un brouillard d'onde impossible de capter quoi que ce soit.
poste suivant: toujours là (enfin normalement) si quelqu'un voudra poster
Vincent arpenta le couloir et fut attiré comme l'aiguille d'une boussole vers le Nord devant une porte qu'il ouvrit sans hésitation. Une petite pièce quasi vide, les marques sur la moquette de meuble étaient encore devinables. Les murs étaient presque nus de toute décoration, le reste d'un poster pendait indiquant "Led Zeppelin", il vit le lit sans matelas, il fit quelque pas dans la pièce et entendit du verre se briser sous la semelle de ses chaussures. La lampe sur le sol il vit les restes de seringues.
- Le rendez vous des drogués ici! J'aurais jamais deviné que ma chambre en serait un lieu de pèlerinage des shootés. Devant lui un poster curieusement intacte de jim Morisson; on lui avait souvent faire remarquer sa forte ressemblance avec le chanteur des DOORS, avant du moins qu'il aille en Afrique et en revienne avec des épaules énormes et des tatouages.
Le son strident et répété de sa sonnerie de portable retentit. Sans être surpris le moins du monde il le prit, il s'agissait d'un de ces vieux nokia, solide comme la roche et discret comme un taureau dans un magasin de porcelaine. Il sortit de sa chambre et passa porte, recouverte de planches clouées, et il arriva sur une petite terrasse de 6 mètre carrés, bâtit au dessus du salon donnant sur le jardin, enfin le terrain vague et sauvage envahit par endroit de hautes herbes et de lierre rampants étouffant des arbres devenu maigres et faible. Le carrelage de la terrasse était lézardé et tellement sale qu'il en avait perdu la blancheur initiale pour devenir noir; les meubles de jardin, une petite table ronde et des chaises, avaient piteuses mines, rongés par la rouille et cassés. Le ciel était devenu noir, vincent éteignit sa lampe, il ne pouvait à peine distinguer la palissade au bout du jardin.
- Salut Franky! Comment tu vas???
- Bien et toi?? le retour aux origines pas trop dur?
- Froide et bien vide! Un cimetière géant cette ville. J'pense que je vais dormir dans la voiture ce soir!
- Ha!! Toujours aussi courageux! Bon voila j'ai des résultats pour ta demande. J'ai fait des recherches. Et putain! En effet y en avait des cinglés et dire qu'on a grandit là bas!!
- Alors??? Un profile possible??demanda vincent s'accoudant à la rembarre, curieux d'entendre la réponse
- Un type assez fou pour faire ça. y aurait eu Walter Sullivan. L’énonciation du nom provoqua un court silence. Sullivan avait glacé le monde d'effroi et rendu le nom de la ville tristement célèbre. Le double homicide de la petite fille et du garcon de 10 ans avec une hache, une affaire des plus horrible qui mettait cet homme sur la scène des horribles et étranges meurtriers du monde avec Jack L'éventreur et Pedro Alonso López.
- Non ca ne va pas!
- Je sais vincent! Mais de toutes la liste aucun ne peut correspondre. Je te dis moi c'est un fan!!
- Un fan??? le seul tu veux dire!! Ma carrière est inexistante!
- Justement lui répondit son interlocuteur sur un ton léger et plaisantin En générale quand on a peu de fan ce sont des acharnés des fous qui pensent qu'ils peuvent avoir leur chance! Je te le dis il te fais ça en espérant qu'on parlera de toi ou que tu trouveras de l'inspiration dans ce que tu auras vécu!
- Faut que tu arrêtes de regarder Larry un ami qui vous veut du bien Franck! la plaisanterie surprit même celui qui venait de la faire; comment parler aussi légèrement alors que ca se produisait en ce moment??
- Va à l'hopital. Si il t'a bien appelé pour te dire qu'il était à silent Hill il ne doit pas être totalement équilibré. Tu pourrais aussi te faire connaitre de lui, trouver un moyen pour qu'il sache que tu es en ville mais ca me semble trop dangereux.
- L'hopital??? j'irais demain. Vincent coupa le portable. Il resta dans la nuit noire à observer la ville, juste une forme, une silhouette peinte de noir sur un fond de ciel mauve sombre, avec encore quelque lueur de bleu nocturne. Un croissant de lune dans le ciel pour seul phare. Il ralluma sa lampe et descendit refermant les portes derrière lui, comme pour enfermer les fantômes et souvenirs. Vincent alla s'allonger sur la banquette arrière de sa voiture. Il avait juste avant essayé d'écouter la radio mais à part un crépitement avec des sons aigu par moment rien, un brouillard d'onde impossible de capter quoi que ce soit.
poste suivant: toujours là (enfin normalement) si quelqu'un voudra poster
Vincent Grammont- Messages : 45
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: child in time, retour au bercail.
Personnage, inventaire et lieu idem.
Il prit le fusil, un modèle pour la chasse avec une lunette, un long canon d'acier. Le bruit sec et métallique de la culasse se fit entendre quand il l'arma. Vincent regardait le guide, caméra à l'épaule.
Ici il est préférable d'être armé. Pas uniquement pour se défendre des animaux! Y a les rebelles qui font des raids dans les villages proches mais surtout les braconniers. Mon métier c'est de défendre tout ce qui vit sur ces terres de ces salauds! autour d'eux, la ne s'étendait à perte de vue, des hautes herbes sèches et jaunes comme des champs de blé sur le Nord la terre dure vers le Sud. Un petit bosquet de buisson jaunie par le manque d'eau et le sable transporté par les vents à l'ombre des des arbres et du feuillage dormaient quelques prédateurs, mais plus loin le plus grand des prédateurs les avait repéré. Derrière des rochers, le 4x4 juste à côté d'eux avec le preneur de son dedans prêt à démarrer Vincent s'approchait du guide.
- Film les animaux! Vous voyez là bas. Ils sont deux! A voir leur tête ca doit être d'ancien fermier que les pillages des rebelles ont forcé à changer de métier. Il pointa l'arme sur eux et les observa à la lunette puis Vous n'allez pas leur tirer dessus? Sans prêter attention à ce que disais le journaliste, ni à la caméra de Vincent il les mit en vue puis leva le canon et tira. La détonation retentit dans les airs et put se faire entendre à plusieurs kilomètres. Les félins se levèrent et partir à tout vitesse. La première balle est toujours à blanc chez moi. Sécurité avant tout pour moi et mes protégés. Puis il pointa son arme vers les contrebandiers qui remontaient dans leur vielle camionnette en ruine.
- Mais pas les autres. Il resta un moment silencieux puis déposa son fusil. Les chasseurs étaient parti voyant qu'ils ne pourraient pas retrouver leur proie dans les hautes herbes et craignant la présence d'hommes armés.
Ils passèrent quelque temps à discuter avec le garde de la réserve. Puis quand la caméra fut éteinte et que le moment de convivialité commençait vraiment alors que l'air fraichissait et l'énorme soleil rouge baissait dans le ciel, vincent put obtenir le droit de tenir l'arme et de faire quelque tir. Après avoir posé façon chasseur, le pied sur un rocher.
- Belle proie!! Lui dit Jeremy le preneur de son T'es sûr qu'il va pas s'enfuir. vincent fit quelque tir pas très prometteur. [/i
- Dégagez cette caméra!! [i]Grogna t il malgré le sourire qui lui remontait jusqu'aux oreilles.
Il posa le fusil sur sa table de cuisine. Son appartement était bien vide. Il n'était pas toujours là et il était revenu d'une petite tournée dans 5 villes, et à son retour sa famille ne l'attendait pas. Il avait pensé que sa femme en avait eu marre. Mais aucun mot d'Angela. Le silence pendant deux jours avant qu'il ne se décide à en parler à la police. après deux jours ils refusèrent de le voir, leur affaire semblait déjà finie. Cela faisait plus de trente heure qu'il n'avait pas dormi, des cernes autour des yeux, une bouteille vide qui glissait de la table pour s'écraser avec les autres cadavres. Son verre de whisky presque plein. La chaleur et la brulure de l'alcool ne suffisait pas. Soudain le téléphone sonna.
Sans savoir pourquoi vincent y accourut, espérant entendre la voix de l'inspecteur Douglas Shown qui reprenait l'affaire. Ce fut une voix étrangement familière même si elle sonnait fausse.
-Silent Hill.
- Quoi qui êtes vous??? Allo??
- silent Hill! Je t'attendrais comme eux!
- Pardon?? c'est vous?? Espèce d'enfoiré!! espèce de ***** encu*** t'as pas interet à leur avoir fait du mal!! vincent continua son flot d'insulte avant de s'apercevoir qu'il n'entendait plus que le bip grave de la tonalité lui indiquant que l'interlocuteur avait raccroché. Il remit son téléphone lentement, sous le choc. Il avait été bien kidpnappé. il se tourna vers sa fenêtre. La lumière du soleil, les rayons chauds.
il se réveilla, par les quelques rayons qui transperçaient les nuages sombre dans le ciel. Il était dans sa voiture. il prit la bouteille d'eau sous le siège et en but une gorgé, l'hopital c'est là qu'il irait!
Après avoir mangé un morceau et fait une courte et rapide toilette il mit le contact et quitta la rue.
suite quartier commercial Nathan avenue (normal)
Il prit le fusil, un modèle pour la chasse avec une lunette, un long canon d'acier. Le bruit sec et métallique de la culasse se fit entendre quand il l'arma. Vincent regardait le guide, caméra à l'épaule.
Ici il est préférable d'être armé. Pas uniquement pour se défendre des animaux! Y a les rebelles qui font des raids dans les villages proches mais surtout les braconniers. Mon métier c'est de défendre tout ce qui vit sur ces terres de ces salauds! autour d'eux, la ne s'étendait à perte de vue, des hautes herbes sèches et jaunes comme des champs de blé sur le Nord la terre dure vers le Sud. Un petit bosquet de buisson jaunie par le manque d'eau et le sable transporté par les vents à l'ombre des des arbres et du feuillage dormaient quelques prédateurs, mais plus loin le plus grand des prédateurs les avait repéré. Derrière des rochers, le 4x4 juste à côté d'eux avec le preneur de son dedans prêt à démarrer Vincent s'approchait du guide.
- Film les animaux! Vous voyez là bas. Ils sont deux! A voir leur tête ca doit être d'ancien fermier que les pillages des rebelles ont forcé à changer de métier. Il pointa l'arme sur eux et les observa à la lunette puis Vous n'allez pas leur tirer dessus? Sans prêter attention à ce que disais le journaliste, ni à la caméra de Vincent il les mit en vue puis leva le canon et tira. La détonation retentit dans les airs et put se faire entendre à plusieurs kilomètres. Les félins se levèrent et partir à tout vitesse. La première balle est toujours à blanc chez moi. Sécurité avant tout pour moi et mes protégés. Puis il pointa son arme vers les contrebandiers qui remontaient dans leur vielle camionnette en ruine.
- Mais pas les autres. Il resta un moment silencieux puis déposa son fusil. Les chasseurs étaient parti voyant qu'ils ne pourraient pas retrouver leur proie dans les hautes herbes et craignant la présence d'hommes armés.
Ils passèrent quelque temps à discuter avec le garde de la réserve. Puis quand la caméra fut éteinte et que le moment de convivialité commençait vraiment alors que l'air fraichissait et l'énorme soleil rouge baissait dans le ciel, vincent put obtenir le droit de tenir l'arme et de faire quelque tir. Après avoir posé façon chasseur, le pied sur un rocher.
- Belle proie!! Lui dit Jeremy le preneur de son T'es sûr qu'il va pas s'enfuir. vincent fit quelque tir pas très prometteur. [/i
- Dégagez cette caméra!! [i]Grogna t il malgré le sourire qui lui remontait jusqu'aux oreilles.
Il posa le fusil sur sa table de cuisine. Son appartement était bien vide. Il n'était pas toujours là et il était revenu d'une petite tournée dans 5 villes, et à son retour sa famille ne l'attendait pas. Il avait pensé que sa femme en avait eu marre. Mais aucun mot d'Angela. Le silence pendant deux jours avant qu'il ne se décide à en parler à la police. après deux jours ils refusèrent de le voir, leur affaire semblait déjà finie. Cela faisait plus de trente heure qu'il n'avait pas dormi, des cernes autour des yeux, une bouteille vide qui glissait de la table pour s'écraser avec les autres cadavres. Son verre de whisky presque plein. La chaleur et la brulure de l'alcool ne suffisait pas. Soudain le téléphone sonna.
Sans savoir pourquoi vincent y accourut, espérant entendre la voix de l'inspecteur Douglas Shown qui reprenait l'affaire. Ce fut une voix étrangement familière même si elle sonnait fausse.
-Silent Hill.
- Quoi qui êtes vous??? Allo??
- silent Hill! Je t'attendrais comme eux!
- Pardon?? c'est vous?? Espèce d'enfoiré!! espèce de ***** encu*** t'as pas interet à leur avoir fait du mal!! vincent continua son flot d'insulte avant de s'apercevoir qu'il n'entendait plus que le bip grave de la tonalité lui indiquant que l'interlocuteur avait raccroché. Il remit son téléphone lentement, sous le choc. Il avait été bien kidpnappé. il se tourna vers sa fenêtre. La lumière du soleil, les rayons chauds.
il se réveilla, par les quelques rayons qui transperçaient les nuages sombre dans le ciel. Il était dans sa voiture. il prit la bouteille d'eau sous le siège et en but une gorgé, l'hopital c'est là qu'il irait!
Après avoir mangé un morceau et fait une courte et rapide toilette il mit le contact et quitta la rue.
suite quartier commercial Nathan avenue (normal)
Vincent Grammont- Messages : 45
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